Temps de lecture : 10 minutes

Cet article est la deuxième partie d’un résumé sur le livre de John Muir Laws “The Laws Guide to Drawing Birds”. Si vous n’avez pas lu la première partie, rendez-vous ici pour la retrouver 😉. Vous y trouverez un résumé des trois premiers chapitres du livre : les bases pour dessiner les oiseaux, l’anatomie des oiseaux et des conseils pour les oiseaux les plus communs (rapaces, oiseaux d’eau et oiseaux de rivage). 

Dans cette suite nous allons voir les trois derniers chapitres du livre. Je finirai en vous faisant un retour sur ce que j’ai pensé de ce livre, ses points positifs et ses points négatifs.
Très bonne lecture et bonnes découvertes ! 🙂

Dessiner les oiseaux en vol peut être assez compliqué. Ils bougent beaucoup et la longueur et la forme des ailes à l’air de changer en fonction du point de vue avec lequel l’oiseau est observé. Pour un dessin convaincant il faudra dessiner ce qui est observé, avec des formes d’ailes parfois un peu étranges ou une aile beaucoup plus courte qu’une autre. 

Un autre problème est que pour voler les oiseaux battent des ailes … et des fois très vite ! Pour voler c’est bien pratique mais pour les dessiner ça ne nous arrange pas trop. 

Dans cette partie, l’auteur présente des notions d’anatomie des oiseaux en vol, de structure des ailes et des principes de perspectives.

Un cadre pour le vol

Si un oiseau est juste au dessus de votre tête les ailes seront perpendiculaires au corps et apparaîtront de la même taille. Ça se complique si l’oiseau décide de tourner et s’il s’éloigne ou se rapproche de vous.

Comment faire ? L’approche de l’auteur est, comme pour les oiseaux posés, d’indiquer rapidement et simplement les proportions de l’oiseau. Une ligne est tracée pour le corps, une autre pour les ailes. L’angle avec lequel ces lignes se croisent varie si l’oiseau tourne par exemple. 

A partir de ces lignes, vous pouvez tracer un rectangle pour chaque aile. Ce sera votre cadre. La limite entre les rémiges primaires et les rémiges secondaires est ensuite tracée par une autre ligne. Les « rémiges » sont les plumes grandes plumes rigides des ailes. Rendez-vous à la première partie de cette article pour en savoir un peu plus 🙂.

L’intérêt de cette dernière ligne est que ces deux types de plumes ne poussent pas du tout dans le même sens et que ça se voit énormément sur une aile déployée. Les rémiges primaires se déploient comme un éventail à partir d’un point à l’intérieur de l’aile alors que les rémiges secondaires sont parallèles entre elles et sont orientées dans le sens du corps de l’oiseau.  

Rapace en vol

Les plumes au bout de l’aile et les plumes proches du corps ne poussent pas dans la même direction. Les ailes n’ont pas l’air de la même taille non plus, c’est souvent le cas pour les oiseaux en vol (Pen Ash – Pixabay)

Les petits oiseaux en vol

Pour les grands oiseaux qui font beaucoup de vol plané comme les rapaces par exemple, les ailes seront bien visibles. Par contre, pour les petits oiseaux, qui battent rapidement des ailes, c’est une autre histoire …  

Sur le terrain, impossible de voir clairement les ailes, elles apparaissent floues et on peut au mieux distinguer leur forme et leur longueur.

Ici aussi, le conseil de l’auteur est de ne dessiner que ce que l’on voit : “si vous voyez du flou, dessinez du flou”.

Cette approche évite de donner l’impression qu’un petit oiseau plane ou est figé, ce qui pourrait se passer si l’aile était dessinée très nettement. 

Pour dessiner ce flou, John Muir Laws conseille de représenter les ailes par des lignes proches les unes des autres et perpendiculaires au corps de l’oiseau

Dans le livre, de nombreux schémas expliquent les principes de perspective qui font que, par exemple, quand un oiseau tient ses ailes levées ou baissées, l’aile la plus éloignée de l’observateur apparaît plus courte que l’autre aile. Vous pouvez trouver plus de détails dans deux vidéos réalisées par l’auteur, un peu longues mais très intéressantes, ici et ici.

Un modèle 3D est également fourni dans le livre pour étudier les effets de perspective et pour s’entraîner à dessiner les ailes dans différentes positions. Il peut être téléchargé gratuitement sur le site de l’auteur (je vous indique comment le télécharger en fin d’article 🙂). 

Partie 5 – Croquis sur le terrain

Ah … les dessins sur le terrain … pour l’auteur c’est le plus important, c’est ce qui vous permettra de vraiment comprendre les oiseaux, ce qui se répercutera automatiquement dans vos dessins en les rendant meilleurs. Plus que de faire de belles images, pour l’auteur l’avantage de dessiner la nature est d’apprendre à observer, être curieux et apprendre de la nature en documentant vos observations. C’est toute l’importance des croquis réalisés sur le terrain. Cette pratique est très plaisante mais peut aussi présenter des difficultés. C’est ce que nous allons voir dans cette partie. 

Pourquoi dessiner sur le terrain

« Dessiner pour mieux observer », ce serait un bon résumé de l’approche de John Muir Laws. Une tentation quand on s’intéresse aux oiseaux est d’essayer d’avoir la plus longue liste d’oiseaux observés possible. C’est même une pratique officielle en ornithologie que l’on appelle la “coche” et dont les pratiquants sont des “cocheurs 1 2 .

Le risque est de ne pas prendre le temps d’observer un oiseau une fois qu’il a été identifié. Dessiner vous oblige a vous poser et à l’observer attentivement. Vous vous souviendrez alors mieux de votre observation et pourrez faire des découvertes sur son comportement que vous n’auriez peut-être pas faites autrement. 

Ce qui explique en partie ce lien avec la mémoire est que, pendant que vous dessinez, tous vos sens sont en éveil. Vous êtes plus concentré sur votre observation. Des recherches très intéressantes ont d’ailleurs été menées sur le lien entre dessin et mémoire (vous pouvez en apprendre un peu plus dans cet article si le sujet vous intéresse 😉).

Enfants qui dessinent dans la nature

Dessiner permet d’apprendre à observer et à mieux retenir
(Ekaterina Bolovtsova – Pexels)

Vous avez dit croquis de terrain ?

John Muir Laws distingue bien ces dessins de ceux présents dans les guides d’identification qui sont deux choses différentes. Dans les guides, les illustrations sont faites pour mettre en avant les critères d’identification des espèces. Elles ne correspondent pas à ce que vous observerez sur le terrain : la lumière sera différente et certains critères ne seront pas visibles. Le but de ces deux types de dessin n’est pas le même : connaître les critères d’identification dans un cas et apprendre à observer, apprendre de la nature et vous souvenir de vos observations dans un autre. 

Pour réaliser un dessin sur le terrain, dessinez donc uniquement ce que vous voyez, soyez attentif aux zones d’ombre et de lumière et évitez de compléter vos dessins d’après des guides de terrain. Ce sera votre matière brute, témoin de vos observations personnelles. Elle pourra vous servir pour des dessins plus complets par la suite. 

Les difficultés du dessin sur le terrain

Un problème qui peut se poser pour démarrer est le problème de la page blanche. Il peut y avoir une peur de raturer et de gâcher du papier par exemple. Pour dépasser ce problème commencez dès le début et avant même de démarrer votre dessin par écrire la date, la localisation et le temps qu’il fait.

Une autre idée pour dépasser ce problème est d’écrire des annotations sur votre journal en complément de vos dessins. Pour certaines observations l’écrit sera plus pratique et plus adapté qu’un croquis. Avec ces deux astuces, il y a moins de risques de voir son journal comme un objet d’art dans lequel il ne devrait surtout pas y avoir de ratures. 

Une fois que vous avez démarré, d’autres difficultés peuvent se présenter (mais rien d’insurmontables si elles sont bien anticipées 😉) :  

  • Un oiseau se pose mais vous sentez qu’il va partir sans traîner et … et ça ne manque pas, c’est ce qu’il fait !
  • Du coup, vous avez peu de temps pour l’observer en détail …
  • L’oiseau est posé (ouf) mais ne prend pas la pose pour autant, il change de posture sans arrêt 
  • Vous avez beaucoup trop de matériel à gérer et peu de temps : jumelles, journal, différents crayons, gomme …

Astuces pour le dessin sur le terrain

Pour chacun de ces problèmes, John Muir Laws présente des astuces et solutions : 

  • Si vous sentez que l’oiseau va partir, laissez votre matériel de côté et observez-le en détail : sa posture, ses proportions, les angles, la lumière (zones d’ombre et zones éclairées) et les détails du plumage. Faite ensuite un croquis rapide pour reporter toutes ces informations sur le papier. Petite astuce en plus donnée par l’auteur : marmonnez doucement (mais à voix haute) des observations pour vous-même pour les garder un petit plus longtemps en mémoire. Ça peut sembler un peu bizarre mais ça peut vous permettre de les retenir suffisamment longtemps pour les reporter ensuite sur votre feuille : un angle aigu au niveau de la nuque, une marque particulière à tel endroit du plumage (vous aurez un gros avantage à connaître les noms des parties du plumage ici, j’en parle dans la première partie de cette article), …

  • Si l’oiseau est posé mais bouge beaucoup, commencez un nouveau dessin à chaque nouvelle posture. Sautez d’un dessin à l’autre quand l’oiseau change de posture. Quand il revient sur une posture que vous avez commencé à dessiner, continuez le dessin correspondant. Le dessin le plus développé sera la posture principale de l’oiseau. Vous entraîner à faire des croquis rapide de différentes postures à partir de photos pourra beaucoup vous aider. 

  • Combinez l’écriture au dessin vous aidera ici aussi. Comme dit plus haut, certaines observations seront plus faciles à écrire qu’à dessiner alors autant ne pas s’en priver.
  • Choisissez bien votre matériel. Trois critères sont donnés pour faire ce choix : il doit être simple, léger et portable. Gardez le toujours à portée de main, par exemple en utilisant un sac en bandoulière. Si votre matériel est au fond de votre sac de randonnée, sous toutes vos affaires (vêtement de pluie, gourde, pique-nique, …), vous aurez peu de chance de l’utiliser.

John Muir Laws parle de deux autres aspects intéressants que je vous ai résumé rapidement dans les paragraphes suivants : les habitats des oiseaux et l’intérêt du dessin pour enregistrer des observations d’espèces rares. 

Pour aller plus loin

Habitat : pourquoi le préciser ?

Les oiseaux évoluent dans un habitat. Dessiner un groupe d’oiseaux et esquisser l’habitat dans lequel il évolue apporte beaucoup d’informations intéressantes : sur le mode de vie, la relations entre les individus, les espèces qui s’associent entre elles, … 

Pour l’harmonie des couleurs, une partie des couleurs de l’oiseau peut être utilisée pour dessiner l’habitat et inversement. 

Espèces rares : les documenter grâce à vos dessins et notes 

Tenir un carnet d’observations est un très bon moyen de noter des informations sur des espèces rares. Ces informations peuvent être remontées à des associations ou des organismes qui travaillent pour l’étude et la protection de la nature. 

Les notes doivent alors être le plus précises possibles : lieu, dates, heure, météo, nom et expérience de l’observateur, équipement.

Pour décrire l’oiseau, soyez particulièrement attentif à la tête, au dos, aux ailes, au croupion et à la queue. Les yeux, le bec et les jambes peuvent venir dans un deuxième temps.

Nous arrivons à la dernière partie du livre qui est plus orientée sur le dessin en lui même : quelques techniques et comment choisir son matériel.  

Partie 6 – Matériel et techniques

Dans cette dernière partie John Muir Laws donne quelques conseils en plus pour améliorer vos dessins et pour choisir et utiliser votre matériel. J’ai choisi de moins développer cette partie qui est un peu moins spécifique au dessin d’oiseaux. Les illustrations du livre apportent beaucoup et le format texte n’est pas très adapté pour résumer ce contenu (pour les techniques d’aquarelle ou le choix des couleurs par exemple). J’ai donc repris seulement quelques points de cette partie : les ombres et lumières, les valeurs et la profondeur.

L’ombre et la lumière

Pour suggérer les ombres une astuce intéressante qui est donnée est de tracer des lignes plus épaisses. 

Soyez attentif à la lumière particulière au moment de votre observation et comment elle influence les couleurs de l’oiseau que vous observez. 

A l’aquarelle, les zones claires (certaines plumes par exemple) peuvent être ajoutées avec un crayon de couleur blanc une fois la peinture posée et sèche. D’autres détails comme le bord des plumes peuvent être ajouté ensuite avec un crayon de couleur marron foncé. 

Les valeurs

Les éléments naturels sont rarement entièrement ronds : ils présentent des angles ce qui entraîne des changements de teintes (on parle de « valeurs » en dessin) brusques. Délimitez les zones avec des valeurs différentes avant de les poser et soyez attentifs aux transitions (plus ou moins marquées) entre elles. 

N’utilisez que 3 ou 4 valeurs différentes : une blanche, une très sombre et une ou deux intermédiaires. N’hésitez pas à assombrir les zones sombres pour avoir plus de contrastes. L’auteur préfère par exemple utiliser principalement un crayon « 2B » pour avoir des noirs plus noirs et donc plus de contrastes.

A la peinture, vous pouvez poser les teintes les plus sombres (ou une partie d’elles) tôt pour avoir un point de référence qui vous permettra d’ajuster les autres teintes en fonction et éviter d’avoir un résultat final trop pâle.

Dessin au crayon graphite d'un papillon Zygène de la filipendule

Essayez d’avoir des valeurs bien contrastées en vous
limitant à 3 ou 4 tons

La profondeur

Montrer la profondeur dans un dessin peut être très utile. L’auteur donne une “boîte à outils” pour donner cet effet. Voici quelques astuces extrêmement résumées. Dans le livre, des illustrations accompagnent ces conseils qui sont bien plus détaillés.

Prêt ? C’est parti :
Un objet éloigné peut apparaître plus petit, partiellement caché, plus haut sur l’illustration, avec moins de détails et plus pâle qu’un objet plus proche.
Si une partie de l’oiseau est au premier plan (la queue en vue de dos par exemple), ses bords peuvent apparaître plus épais pour donner cette impression.

Conclusion : mon avis sur le livre

Ce livre de John Muir Laws est extrêmement complet et m’a vraiment emballé. Vous y trouverez comment capturer rapidement la forme, la posture et les proportions d’un oiseau, comment ajouter des détails en comprenant l’anatomie, comment dessiner les oiseaux en vol et enfin comment les dessiner sur le terrain. On sent bien la passion de l’auteur et son envie de transmettre. Le grand nombre d’informations sur les oiseaux permet d’apprendre à les dessiner en général sans se limiter à recopier une photo ou un modèle étape par étape.

La dernière partie sur les matériels et techniques aurait peut-être méritée d’être un peu plus détaillée. Lorsque l’on a aucune notion de dessin, les conseils donnés sont de très bonnes pistes mais ne remplacent pas un livre plus complet sur le sujet. Ce n’est d’ailleurs pas l’objectif du livre qui est très spécialisé sur le dessin d’oiseaux. L’auteur a écrit un autre ouvrage “The Laws Guide to Nature Drawing and Journaling” plus généraliste et plus complet de ce côté là.

J’ai beaucoup aimé l’approche de l’auteur qui voit le dessin comme une manière d’apprendre à observer, apprendre de la nature, être curieux et se souvenir de ses observations. L’idée de ne pas essayer de faire de beaux dessins mais plutôt de chercher à bien observer et mieux comprendre ce que l’on essaye de dessiner enlève beaucoup de pression. Cela permet de persévérer sans tomber dans le piège de la comparaison avec des artistes qui pratiquent depuis longtemps.

Le fait que le livre soit extrêmement complet est un point positif mais peut aussi perdre un peu le lecteur : il y a beaucoup d’informations sur l’anatomie par exemple. Toutes ces informations sont intéressantes et importantes pour le dessin mais certaines le sont plus que d’autres et à la première lecture ce n’est pas évident de savoir lesquelles. Quelques exercices bien mis en évidence et à appliquer au fur et à mesure de la lecture auraient peut-être aidé à intégrer toutes les informations et conseils donnés.

Enfin, la méthode de base pour dessiner rapidement la forme, les angles et proportions d’un oiseau (avec un cercle pour la tête et un ovale pour le corps) a été assez compliquée à appliquer de mon côté. Les 2 formes n’étaient souvent pas de la bonne taille, ou mal disposées les unes par rapport aux autres et c’était finalement assez compliqué de faire un croquis rapide avec cette approche. Je ne l’ai peut-être pas assez pratiquée pour me l’approprier donc cet avis reste très personnel.

Depuis la sortie du livre, l’auteur utilise une autre méthode, que je trouve bien plus pratique. Vous pouvez en savoir plus dans la vidéo ci-dessous (les sous-titres peuvent être activés dans les réglages avec l’option de traduction automatique). 

Points positifs :
  • Une approche très intéressante et motivante du dessin comme moyen d’en apprendre plus sur la nature.
  • Une méthode complète pour apprendre à dessiner les oiseaux.
  • De nombreux schémas et modèles étapes par étapes rendant la lecture et la compréhension plus facile.
  • Un livre très complet sur les oiseaux avec énormément d’informations passionnantes.
Points négatifs :
  • Un livre très complet … qui peut aussi perdre le lecteur parfois, de petits exercices supplémentaires tout au long du livre auraient été un grand plus.
  • Une démarche de base pour capturer la forme et les proportions qui m’a moyennement parlée mais qui a été mise à jour par l’auteur depuis (voir vidéo ci-dessous).
  • Un livre uniquement en anglais pour le moment.

Quelques mots sur l’auteur

John Muir Laws (Jack) est un naturaliste, éducateur et artiste. Il enseigne la nature et les sciences depuis 1983. 

Il donne des cours, des conférences et des stages sur le terrain. Près de chez lui, dans la région de la baie de San Francisco, il dirige le « Nature Journal Club », qui propose des cours mensuels gratuits et des sorties sur le terrain à une communauté d’artistes, d’explorateurs, de naturalistes et de poètes. Il travaille avec des chercheurs et enseignants à l’Académie des sciences de Californie. Jack est aussi le fondateur de la Wild Nature Foundation qui vise à promouvoir la connexion à la nature et la conservation à travers l’attention, la curiosité, l’art, la science et une communauté de personnes.

Parmi ses autres livres, il est auteur de “How To Teach Nature Journaling : Curiosity, Wonder, Attention (2020, coécrit avec Emilie Lygren)” et de “The Laws Guide to Nature Drawing and Journaling” (2016).”

Il a été choisi comme artiste pour la Journée internationale des oiseaux migrateurs en 2011 et a été nommé “Local hero” en 2020 par le Bay Nature institute.

Références du livre

LAWS, J. M. The Laws Guide to Drawing Birds; Heyday Books: Berkeley, California, 2015.

Ressources

Ces ressources sont principalement du contenu réalisé par l’auteur et sont donc en anglais. Pour les vidéos, vous pouvez activer la traduction avec l’outil de traduction automatique :

Symbole de la roue (paramètres) > Sous-titres > Anglais > Roue > Sous-titres > Traduire automatiquement > Français.

  • « The New Bird Drawing System » : Conférence donnée par John Muir Laws dans laquelle il explique sa nouvelle approche pour capturer rapidement la posture, les proportions et les angles d’un oiseau.
  • Worksheet Archive • John Muir Laws : Modèles d’oiseaux en vol en 3D pour comprendre et dessiner un oiseau en vol depuis différents points de vue. Pour le télécharger : Menu déroulant : “choose option” > choisir “Birds in flight models” > “Add to cart” > “Proceed to Checkout”. Créez votre compte puis “Place order” pour accéder à la page de téléchargement.
    La ressource est gratuite mais est mise à disposition via la boutique en ligne de l’auteur. Pour la télécharger, il vous sera donc demandé de créer un compte (adresse postale, mail, numéro de téléphone). 

Autres ressources : 

(1) Qui sont les cocheurs, ces dingos qui se tirent la bourre pour des oiseaux ? 20minutes.fr
https://www.20minutes.fr/planete/4020652-20230126-cocheurs-passionnes-prennent-bec-oiseaux-rares

(2)
Règlement – La coche. Site officiel des cocheurs
https://cocheurs.fr/reglement/coches.php 

Vous avez une question sur l’article, le livre ou son contenu ? N’hésitez pas à l’indiquer en commentaire, j’y répondrai avec plaisir 🙂

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