Le printemps arrive tout doucement.
Après cet hiver, la vie se réveille et les changements dans la nature sont nombreux.
Les températures se réchauffent, les jours sont plus longs, les oiseaux commencent à chanter, fleurs, bourdons et papillons sont de sortie, …
C’est un moment unique dans l’année à ne pas louper !
Mais comment observer tous ces changements ? Comment retenir ce que l’on observe ?
Un outil précieux pour ça est le carnet d’observations nature ou « Nature journaling« .
Dans cet article, je vous propose de me suivre pour une petite balade sur les chemins.
Nous verrons quelques observations nature à faire en ce moment et des idées pour utiliser un carnet nature concrètement.
Je vous ferai un petit retour d’expérience pour vous parler des difficultés que l’on peut rencontrer quand on se lance et de quelques solutions pratiques que j’ai trouvées pour les surmonter.
C’est parti, bonnes découvertes !
Rencontres nature
Un sac à l’épaule, mon matériel de dessin à l’intérieur, c’est parti pour aller joyeusement sur les chemins de ma commune, direction la forêt.
Fleurs en bord de chemin
A cette période, primevères, pâquerettes, véroniques, perce-neige et ficaires commencent à fleurir.
C’est justement la première rencontre nature que j’ai bien envie de prendre en note : un petit groupe de Ficaire fausse renoncule qui ont décidé de fleurir sur un petit talus en bord de chemin.

Une petite fleur assez commune mais peut-être pas si connue … ça vaut le coup de se pencher dessus 🙂
Je n’avais jamais remarqué mais la base des pétales est plus sombre … peut être pour orienter les pollinisateurs jusqu’au centre de la fleur ?
D’autres espèces de plantes ont les mêmes stratégies donc c’est peut être le cas ici aussi …
La forme de la tige est aussi assez bizarre, on dirait un osselet …

Ficaire fausse renoncule sous tous les angles
Le petit schéma simple en bas à gauche pour indiquer l’organisation de la plante fonctionne vraiment bien.
Vous pouvez trouver quelques exemples dans la même idée pour représenter différents types de fleurs juste ici.
Les traits de construction (ovales, cercles, cônes) ont vraiment été très utiles pour aller assez vite sans avoir à recommencer plusieurs fois.
Pour la partie fleur, vous pouvez trouver des conseils pour les dessiner plus facilement dans cet article.
Après avoir fait ce dessin debout, c’est le moment de repartir se dégourdir les pattes et de s’enfoncer un peu dans la forêt.
En forêt, plantes et arbres
Un peu plus loin un groupe de plantes avec des feuilles vraiment magnifique poussent en bord de chemin.
Il s’agit d’Arum d’Italie.

Légende photo
Certaines feuilles ont beaucoup de blanc, d’autres presque pas, … peut-être que c’est dû à l’exposition ? Au sol ? A l’humidité ? Ou peut-être que c’est juste une variation dû aux individus …
Dernier arrêt devant un Noisetier avec ses fleurs minuscules que j’ai bien envie de prendre en note aussi.

Les fleurs femelles sont minuscules

Une fleur mâle, qui a adoptée un autre style

Petite prise en note rapide de tout ça
Avant de vraiment sortir et dessiner régulièrement dehors j’ai mis un peu de temps …
Pas mal de petits blocages ont fait que j’ai repoussé cette activité ou que je n’ai pas été régulier.
Ces blocages, on peut tous les rencontrer quand on se lance.
Dans la prochaine partie, je vous propose de voir quels sont ces blocages et quelles astuces peuvent permettre de les dépasser.
Si vous rencontrez les mêmes difficultés, ces conseils pourraient bien vous aider 🙂.
Tenir un carnet nature : blocages et solutions
Commençons tout de suite avec le premier blocage : le fameux « je ne sais pas dessiner« .
Ce blocage peut être très lié au regard des autres : dessiner en extérieur fait que l’on peut être exposé et qu’il peut y avoir un sentiment de manque de légitimité par rapport à l’idée qu’on se fait de quelqu’un qui dessine en extérieur.
Blocage 1 : « je ne sais pas dessiner » et le regard des autres
Le problème
Même si ça fait maintenant quelques temps que je dessine régulièrement, j’ai toujours cette impression que finalement je ne sais pas dessiner, ou pas suffisamment bien …
En tout cas, si je me compare à ce que je peux voir d’autres artistes …
J’ai donc l’impression que je vais gâcher des feuilles, que je vais mettre beaucoup de temps et d’énergie pour un résultat pas terrible, et que je ne pourrais pas mettre de couleurs puisque pour l’instant je ne maîtrise pas l’aquarelle à 100%.
Il y a aussi cette image que j’ai en tête des peintres qui pratiquent en plein air, qui sont pour moi de vrais pros et qui font des choses magnifiques.
Il faudrait donc être un pro directement, sans s’être entraîné à peindre en plein air, avant de s’autoriser à peindre en plein air …
C’est un peu bizarre mais pourtant cette idée est un peu ancrée de mon côté.
Il y a donc un espèce de « syndrome de l’imposteur » avec l’impression de vouloir passer pour quelque chose que je ne suis pas.
Vous vous êtes peut-être reconnu dans certaines choses …
La bonne nouvelle, c’est qu’il y a des solutions 🙂.
Les solutions
Pour tenir un carnet nature, comme pour tout, il faut un moteur.
Le meilleur moteur c’est de savoir pourquoi vous voulez le faire, pourquoi c’est important pour vous.
A vous de voir pour vous ce qui ressort de cette question quand vous vous la posez 🙂.
De mon côté, j’ai envie de ne pas louper ce moment de l’année, l’arrivée du printemps et la nature qui se réveille. Il se passe énormément de choses à cette période de l’année dans la nature, j’ai donc envie d’observer le vivant, pour faire de nouvelles découvertes et garder une trace.
Je ne sais pas dessiner
Le Nature journaling, le fait de tenir un carnet nature, ce n’est pas faire du dessin.
Le but n’est pas d’avoir un beau résultat, de faire de beaux dessins ou de belles aquarelles.
Le carnet nature est simplement un moyen pratique de noter ses observations, poser ses réflexions et questions, et faire des découvertes.

Le Nature journaling est un super outil pratique pour apprendre à mieux observer, faire des découvetes et s’émerveiller toujours un peu plus !
L’important n’est donc pas d’avoir un beau résultat, mais simplement d’observer la nature de manière curieuse et de noter ce que vous observez et découvrez.
De cette manière vous aurez gardé en note et en mémoire ce que vous aurez observé et découvert et c’est vraiment ça le plus important.
Le blocage avec l’aquarelle a un peu la même origine.
Cette technique est souvent vue comme compliquée et peu abordable.
C’est vrai que ce n’est pas la technique la plus simple.
Et si vous rajoutez un peu de comparaison avec des artistes qui maîtrisent les ombres, les mélanges de couleurs, les textures, …, il y a de quoi se décourager et abandonner.
Ici aussi, l’aquarelle n’est qu’un moyen pratique et rapide d’ajouter de la couleur.
Pas besoin d’être un super pro pour l’utiliser pour le Nature journaling.
Elle peut permettre d’indiquer la couleur de ce que vous observez, de mettre en valeur certains éléments sur votre page, mais il ne s’agit pas de faire des œuvres d’art.
L’aquarelle a l’avantage de permettre de couvrir de grandes surfaces rapidement, et de permettre de changer de couleurs assez rapidement (une palette pré -remplie et un pinceau à réservoir d’eau suffisent pour de nombreuses couleurs).
Si vous êtes plus à l’aise à utiliser des crayons de couleurs (qui sont une très bonne option aussi), ou si vous ne voulez pas mettre de couleurs du tout, aucun souci.
Ça ne doit surtout pas être un obstacle pour vous lancer si vous en avez l’envie.
Que ce soit en dessin, en aquarelle, au crayon de couleurs, … la progression vient avec la pratique et le temps.
Vous pouvez bien sûr vous perfectionner en faisant des exercices spécifiques mais vous n’avez pas du tout besoin d’être un expert de tout ça pour tenir un carnet nature.
Le regard des autres
Le regard des autres peut être un vrai blocage aussi.
Déjà, on a enlevé un peu de pression, un peu d’un éventuel syndrome de l’imposteur, en évitant de se comparer à des artistes qui travaillent en plein air.
Tenir un carnet nature est une activité bien différente et il n’y a aucune prétention à avoir ce niveau.
Ensuite, vous pouvez très bien commencer progressivement : choisir un endroit peu fréquenté pour commencer, et essayer de continuer à dessiner quand il y a de temps en temps du passage.
Il faut le faire pour se rendre compte qu’en fait, ça va, ça se passe bien.
Les personnes sont plutôt bienveillantes, disent bonjour, et sont parfois curieuses, ce qui est l’occasion de discuter un peu.
Ça m’est arrivé une seule fois au cours de cette balade, un groupe de 2 personnes que j’ai croisées deux fois ont fini par me demander ce que je faisais et au final c’était vraiment une belle rencontre 🙂.
En général, les personnes disent bonjour et retournent très vite à leurs pensées et préoccupations.
Pour aller un peu plus loin sur ce blocage, vous pouvez vous rendre sur cet article.
Blocage 2 : Gérer son matériel sur le terrain … c’est compliqué
Le problème
C’est vrai qu’avoir un carnet, des crayons, éventuellement des crayons de couleurs, des pinceaux, une palette, … et pouvoir changer d’outils rapidement, tout en étant parfois debout, ça peut sembler plutôt compliqué avec seulement 2 mains.
Tout ça sans compter le fait que des fois il y a du passage, il y a du vent, il fait un peu trop chaud ou trop froid, …
Du coup, comme on manque un peu de place pour poser tous nos outils, on a vite fait de les poser dans une poche, dans un un sac, par terre, … bref, un peu où on peut, puis galérer à les retrouver quand on veut les utiliser (oui oui, ça sent le vécu).
Mais pas de panique, pas besoin d’avoir 3 ou 4 bras, il y a des solutions 🙂.
Les solutions
J’ai trouvé 5 grandes solutions pour gérer votre matériel plus facilement.
Nous allons voir comment enlever des contraintes, comment retrouver plus facilement et rapidement ses outils de dessin, comment gagner du temps quand vous prenez des notes, comment changer de couleurs plus facilement à l’aquarelle et enfin la question du « debout ou assis pour dessiner dehors ? ».
1. Enlever des contraintes
Dessiner dehors pose pas mal de petites difficultés.
Quand on voit toutes ces difficultés, ça peut franchement décourager à se lancer.
De mon côté, je pense que ça a beaucoup expliqué le temps que j’ai mis à vraiment dessiner régulièrement dehors.
Pour démarrer plus facilement, le plus simple est donc d’enlever des contraintes.
Comment ?
En dessinant à l’intérieur mais en étant en conditions de dessin en extérieur.
Ce qui m’a beaucoup aidé c’est de prendre mon matériel comme si j’étais dehors, prendre des modèles photos de fleurs que l’on peut rencontrer en ce moment, et faire du Nature journaling comme si je rencontrais cette fleurs dehors.
Concrètement j’étais donc debout derrière mon ordinateur, avec mon sac à l’épaule et tout mon matériel dedans, et je dessinais une pâquerette depuis différents points de vue depuis des références photos.

Petite page faite rapidement en intérieur pour s’entraîner
Bon, je n’avais peut être pas l’air très malin mais c’est un très bon moyen d’enlever des difficultés et d’avoir une marche intermédiaire avant de vous attaquer au dessin sur le terrain.
Vous éviterez le risque de perdre du matériel, le regard des autres, le vent, le froid, …
De cette manière vous pourrez trouver votre propre manière de faire et de gérer votre matériel.
Et le plus important et que vous pourrez vous dire,
« Une fois dehors, je suis capable de dessiner et de gérer mon matériel, je peux le faire » parce que vous l’aurez déjà fait.
Ça parait bête mais ça a vraiment tout changé pour moi.
2. Un sac et peu d’outils de dessin
La 2ème astuce est d’utiliser un sac en bandoulière tenu à l’épaule pour avoir accès rapidement et facilement à votre matériel.
Pensez à regarder si vous n’auriez pas un sac qui peut faire l’affaire avant de chercher à acheter le sac parfait 🙂.
Vous trouverez dans les ressources les références du sac que j’utilise.
Évitez aussi d’avoir trop d’outils. Ce sera plus facile de trouver le bon crayon dans vos affaires si vous en avez 3 que si vous en avez une quinzaine et qu’il faut fouiller.
Attacher vos crayons avec un mini élastique est une bonne idée pour les crayons de couleur (à cause de leur nombre) mais moins pour les autres crayons si vous en avez peu.
Cela complique un peu le fait de les sortir quand vous avez déjà les mains prises par votre carnet par exemple.
La solution idéale pour moi est de n’avoir que peu de crayons et de les mettre dans la poche externe à l’avant du sac pour y accéder facilement.
3. Une approche étape par étape
Pour gagner du temps, évitez au maximum de changer d’outil.
L’idée est d’être méthodique et de procéder étape par étape en faisant les différents dessins de votre page en parallèle.
- 1. Placez les traits de construction (plus d’informations sur comment utiliser des traits de construction ici) pour l’ensemble de vos dessins (fleurs, feuilles, différents points de vue, …). Ces traits sont vraiment d’une aide énorme pour faire des dessins corrects rapidement sans avoir à s’y reprendre de nombreuses fois. J’utilise un crayon uniquement pour ça, le « Non photo blue pencil #20028 » de Prismacolor (références en fin d’article). Ses traits sont très discrets et n’ont pas besoin d’être effacés (ce qui permet d’éviter d’effacer le dessin en même temps et fait gagner beaucoup de temps).
- 2. Faites ensuite tous les dessins en vous appuyant sur ces traits de construction. Essayez d’utiliser un trait continu si possible pour des dessins plus rapides, plus nets et qui ont moins besoin d’être « nettoyés ».
- 3. Ajoutez de la couleur si besoin, à l’aquarelle, au crayon de couleur ou avec une autre technique, pour tous les dessins. Cela vous évitera de changer plusieurs fois de couleurs : vous poser tous les verts, puis tous les jaunes, etc. A l’aquarelle, cela vous permettra de changer de dessin en attendant qu’une couche sèche par exemple pour gagner un peu de temps.
- 4. Utilisez éventuellement d’autres techniques par-dessus pour ajouter quelques détails (stylo-gel pour les veines et zones éclairées, crayon à papier, crayons de couleurs, etc).
- 5. Enfin, faites la mise en page de la page (en restant simple) : encadrés, fonds colorés, textes (observations, questions, réflexions), pictogrammes, titre, …
4. Changer de couleurs à l’aquarelle
Changer de couleurs à l’aquarelle quand on a les mains prises peut être un peu compliqué.
L’incontournable pour l’extérieur est déjà le pinceau à réservoir d’eau (qui vous évitera de transporter un verre d’eau et d’être embêté par l’eau chargée en pigments et parfois en métaux).
La solution que j’ai testée est de prendre un petit paquet de mouchoir, de le poser ouvert sur votre carnet et d’essuyer votre pinceau sur le premier mouchoir du paquet.
Ce n’est pas l’idéal mais ça fonctionne !
Une autre astuce, bien plus pratique, est de passer une vieille chaussette, dont vous aurez coupé le bout, autour de votre poignet (celui de la main qui ne dessine pas).
Vous pourrez alors essuyer votre pinceau facilement dessus et changer de couleur.
Dernier problème pratique pour la gestion du matériel : est-ce qu’il vaut mieux être assis ou debout ?
5. Assis ou debout pour dessiner dehors ?
Si vous pouvez, il vaut mieux être assis.
Vous serez mieux installé, vous n’aurez pas mal au dos, et vous pourrez prendre le temps d’observer, de dessiner et de prendre des notes.
Pour ça, vous avez plusieurs options. De mon côté, j’ai opté pour le mini tabouret pliant. Confort mais pas entièrement tout terrain par contre.
Vous pouvez aussi choisir l’option assise de randonnée pliante, assez confortable aussi, ou bien un simple sac plastique pour vous isoler (un peu) de l’humidité du sol.
En fonction de votre sujet, dessiner debout peut aussi être aussi une bonne solution.
C’est par exemple bien pratique pour dessiner les feuilles d’un arbre ou un animal.
Vous ne pourrez pas forcément vous asseoir partout non plus donc dans certains cas dessiner debout peut aussi être très utile.
Et voilà, nous sommes arrivés à la fin de cet article, c’est donc le moment de faire un petit récapitulatif des principales astuces et découvertes que l’on a vu 🙂.
Conclusion
Tenir un carnet nature est un formidable moyen de mieux observer, être plus curieux, faire des découvertes, les retenir et s’émerveiller toujours un peu plus.
La fin de l’hiver et le début du printemps est la période idéale pour se lancer : la vie se réveille, les fleurs apparaissent un peu partout, les oiseaux sont plus actifs, les insectes redémarrent leur activité, …
Tenir un carnet nature peut présenter quelques difficultés, que j’ai retrouvées quand je me suis vraiment replongé dans cette activité.
Nous avons vu ces difficultés en détail et quelles solutions peuvent permettre de les dépasser.
Ces solutions ne sont sans doute pas des solutions miracles. Elles fonctionnent pour moi mais à vous de voir si elles vous parlent et fonctionnent pour vous aussi.
Pour ça, une seule chose à faire, se lancer et tester 😉.
Il ne s’agit pas de faire de l’art, de beaux dessins ou de belles aquarelles, mais simplement d’observer la nature, noter ce que vous observez et les questions et réflexions qui vous viennent.
Le meilleur conseil pour des dessins plus faciles et rapides est sans doute d’utiliser des traits de construction et de chercher à comprendre ce que vous voulez dessiner.
Pour le dessin en extérieur, c’est vraiment une aide précieuse.
Cela évite de faire trop d’aller retours avec le regard entre votre modèle et votre carnet à dessin.
Vous pourrez alors vous concentrer sur l’observation, la curiosité et la découverte.
Pour trouver plus de conseils pour progresser en dessin, vous pouvez vous rendre sur la page « commencez-ici« .
Et pour des conseils sur le dessin de fleur en particulier c’est ici.
Enfin, pour aller plus loin et retrouver plus de conseils sur comment tenir un carnet nature en faisant du « Nature journaling », vous pouvez vous rendre sur cet article par exemple ou télécharger le guide gratuit en fin de page 🙂.
Si vous avez des questions ou à partager, rendez-vous dans les commentaires en bas de page, j’y répondrai avec plaisir ! 🙂
A très vite !
Ressources
Références du matériel utilisé :
D’autres références peuvent très bien faire l’affaire, je vous en parle ici puisqu’il s’agit du matériel que j’ai et que je connais.
- Assise de randonnée ; d’autres références peuvent être trouvées dans des magasins de sport
- Pentel aquash en taille moyenne (1.8 mm)
- Crayons de couleurs Faber Castell Polychromos
- Sac en bandoulière qui se porte à l’épaule
- Crayon gomme “Tombow Mono zero”
- Porte mine 0.5 mm avec mine HB
- Carnet de croquis Monali A4 (un peu juste pour l’aquarelle, les feuilles sont trop fines, ne permet pas d’utiliser beaucoup d’eau). L’idéal sont des carnets avec des feuilles de minimum 200 g/m² comme celui-ci ou celui-là par exemple.
- Non photo blue pencil #20028 Col-Erase de Prismacolor
Un livre très bien fait sur le dessin nature et le Nature journaling :
- Laws, J. M. The Laws Guide to Nature Drawing and Journaling; Heyday Books: Berkeley, California, 2016.
Quelques pratiquants de Nature journaling inspirants :
- Kate Rutter : Instagram
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