Le monde des oiseaux est un monde absolument passionnant. Ils traversent les océans et les déserts, volent au-dessus des montagnes, égayent le printemps …
On compte près de 9700 espèces au total sur la planète, on les retrouve partout. Ils ont su s’adapter à tous les environnements.
Les oiseaux sont aussi les seuls représentants actuels des dinosaures …
Seulement voilà, ils ont la bougeotte, sont souvent observés de loin et nous laissent rarement le temps de bien les observer …
Alors, comment apprendre à mieux les connaître ?
Je me souviens d’une des premières sorties que j’ai faite, c’était il y a quelques années, avec un passionné d’oiseaux membre de la même association naturaliste que moi : « Tu vois, ça, c’est un Tarin des aulnes » m’avait-il dit.
Ah … j’avais vu une silhouette perchée sur un arbre, des plumes, un bec, des ailes … bon, un oiseau quoi.
Le nom a été confirmé par d’autres personnes participant à la sortie mais sur le moment je pense qu’il aurait pu me dire n’importe quel nom j’aurais eu la même réaction …
Comment a-t-il fait ?
En fait, il n’y a pas de miracles dans cette détermination : les ornithologues utilisent des critères pour déterminer une espèce. Avec l’habitude, ils deviennent parfois inconscients et peuvent être difficiles à expliquer.
Dans cet article nous allons voir 7 astuces, 7 choses à observer pour apprendre à déterminer un oiseau.
Reconnaître un oiseau : le jeu du « Qui est-ce ? »
Mettre un nom sur un oiseau, c’est un peu comme jouer au « Qui est-ce ? » : on récolte des indices qui permettent d’éliminer petit à petit des possibilités et de finalement mettre un nom sur une observation. L’idée est de réduire au maximum les possibilités en utilisant différents critères. Parfois le nom de l’oiseau sortira tout de suite avec peu d’informations, parfois il faudra procéder par élimination en regroupant différents indices pour retrouver le bon nom. Eh oui, c’est un vrai jeu d’enquête 😉
Avec le temps, vous saurez rapidement quelles informations sont importantes à noter pour mettre un nom sur l’oiseau que vous avez observé.
Ces informations sont reprises dans les 7 points que nous allons voir dans cet article.
Avec ça, vous aurez tout ce qu’il faut savoir pour mettre un nom sur cet oiseau qui est parti sans se présenter.
Avec cette approche, vous pourrez aussi rapidement éviter certaines confusions courantes que vous faites peut-être.
Deux points assez importants que je ne traiterai pas dans cet article :
- Si vous voulez persévérez dans l’observation des oiseaux, l’acquisition d’une paire de jumelles deviendra vite indispensable. Les oiseaux sont souvent observés à distance et ça peut être très compliqué de les reconnaître sans cet outil.
- Vous intéresser aux chants des oiseaux vous permettra de faire d’énormes progrès et facilitera beaucoup vos observations. Une fois un chant entendu, vous pouvez par exemple prendre le temps de vous arrêter et chercher qui l’a produit. C’est un bon point de départ, il existe aussi de nombreuses ressources en ligne qui peuvent vous aider.
Voyons donc tout de suite ces 7 astuces pour apprendre à reconnaître les oiseaux !
1. La taille
La taille, assez facile à évaluer grossièrement, vous donnera un premier indice sur l’oiseau que vous avez devant les yeux. Avec l’habitude, vous saurez l’évaluer de mieux en mieux.
Pour ça, vous pouvez comparer avec des espèces courantes que vous avez bien en tête. Voici quelques exemples, vous pouvez bien-sûr les adapter en prenant des références qui vous parlent plus.
Vous pouvez évaluer s’il s’agit :
- d’un petit oiseau (taille d’un moineau)
- d’un oiseau de taille moyenne (taille d’un merle)
- d’un oiseau de grande taille (taille d’une corneille)
Petit oiseau
Moineau domestique, longueur : 15cm
Oiseau de taille moyenne
Merle noir, longueur : 26cm
Oiseau de grande taille
Corneille noire, longueur : 47cm
Attention, avec la distance la taille peut être difficile à évaluer et c’est assez trompeur ! Deux oiseaux peuvent par exemple apparaître de la même taille s’ils sont rapprochés mais sur des plans différents. Pour ça il n’y a pas de secrets, il faudra se faire l’œil lors de sorties.
Cela peut poser problème pour des oiseaux qui se ressemblent, observés proches l’un de l’autre et dans des conditions difficiles. Ce n’est pas si courant que ça, donc ça ne devrait pas vous déranger au début.
2. La silhouette
Plus difficile à reconnaître, c’est la clef de l’identification rapide dans des conditions difficiles (faible lumière, contre-jour, etc).
Avec de la pratique et en connaissant quels types d’espèces on peut retrouver dans quels milieux, vous familiariser avec la forme d’un oiseau et ses proportions vous permettra de reconnaître une espèce posée ou en vol rapidement et facilement.
Pas besoin d’être un expert et de passer des heures et des heures sur le terrain, ce critère vous aidera déjà beaucoup même si vous débutez.
Les oiseaux d’une même famille ont souvent des silhouettes proches : en vous entraînant à reconnaître la silhouette d’un oiseau typique de sa famille, vous ferez un très grand pas dans l’identification.
Si par exemple vous reconnaissez un oiseau qui a la silhouette d’une espèce de la famille des merles (les « Turdidés », on y retrouve aussi les Grives par exemple) et qu’il est d’une couleur sombre uniforme, il s’agit sans aucun doute d’un Merle noir.
Certains oiseaux ont aussi des silhouettes très typiques qui vous permettront de reconnaître directement l’espèce.
Famille des Martinets (Martinet noir ici) : une fois la silhouette en tête, on le reconnaît bien : de longues ailes étroites à la base et effilées
Famille des Hirondelles (Hirondelle de fenêtre ici) : les ailes sont bien plus larges à la base, elles sont en forme de triangle
« Esquisser des oiseaux améliorera vos compétences en dessin et votre capacité à observer et à identifier ce que vous voyez » – John Muir Laws, The Laws guide to drawing birds
Voici une idée pour vous entraîner à reconnaître les silhouettes des oiseaux que l’on rencontre le plus souvent :
- Rendez-vous ici pour retrouver les oiseaux que l’on rencontre le plus souvent dans les parcs et jardins (illustrations en fin de page).
2. A partir de cette liste, choisissez un oiseau que vous aimeriez apprendre à reconnaître facilement puis repérez la famille à laquelle il appartient en vous rendant ici : les familles d’oiseaux
3. Entraînez-vous à reconnaître la silhouette d’un oiseau typique de cette famille. Vous pouvez garder le même oiseau que vous avez choisi dans l’étape 2. Le dessin peut beaucoup vous aider : pour bien observer et vous mettre en tête la silhouette d’un oiseau, entraînez-vous simplement à la dessiner. Pour ça, recherchez une image de votre oiseau et entraînez-vous à tracer ses contours extérieurs.
Dans la nature les oiseaux bougent alors que sur un dessin vous ne vous entraînerez que sur une seule posture bien spécifique. Le dessin ne remplacera donc jamais complètement l’observation sur le terrain même s’il vous permettra de progresser bien plus vite.
Dans les dessins de silhouettes précédentes, le bec ressort vraiment : il est facile à observer et est assez variable d’une espèce à l’autre. Il indique de quoi se nourrit principalement l’oiseau que vous avez observé et peut vous permettre de savoir rapidement à quelle grande famille il appartient.
3. Le bec
Le bec fait partie de ces adaptations étonnantes des oiseaux à leur environnement. Il en existe une très grande diversité : des minuscules, des très (très) longs, des plats, des coniques, des recourbés …
Il indique directement la nourriture principale et le mode de vie. C’est donc très intéressant pour mieux connaître les oiseaux mais aussi pour apprendre à les reconnaître.
Bec très long pour fouiller dans le sol et la vase (Courlis cendré). Aidan Semmens – Pixabay
Bec minuscule pour déloger les insectes (Mésange à longue queue). Johnny px – Pixabay
Bec filtreur, aplati et élargi au bout (Spatule blanche). Mabel Amber – Pixabay
Bec retroussé pour remuer et filtrer la vase (Avocette élégante). Bishnu Sarangi – Pixabay
Bec fort et crochu caractéristique des
rapaces (Pygargue à queue blanche). Anrita – Pixabay
- coniques
- fin
- fin et assez fort en même temps
Bec conique, parfait pour casser la graine (Pinson des arbres). Sharkolot – Pixabay
Bec fin pour chasser les insectes (Accenteur mouchet). Kev – Pixabay
Bec fin et fort, polyvalent (Merle noir). gb59098 – Pixabay
Les becs des oiseaux d’eau
Les oiseaux d’eau ont des becs d’une diversité impressionnante qui vont avec leurs modes d’alimentation (chercher des proies en profondeur dans la vase, casser des coquillages, filtrer l’eau etc). Ils se rencontrent dans des milieux bien spécifiques et ne seront pas croisés couramment au cours d’une balade par exemple. Je ne vais donc pas en parler dans cet article qui se veut plus général.
C’est donc avec ces trois types de becs qu’il est le plus important de se familiariser dans un premier temps.
Ce simple critère vous permettra de ne plus vous tromper entre une mouette (bec assez fin) et un goéland (bec plus fort) ou entre un accenteur (bec fin) et un moineau (bec conique).
4. La queue
A l’autre extrémité de l’oiseau il y a la queue, indispensable au vol et à l’équilibre, elle peut être plus ou moins longue et plus ou moins fourchue.
C’est un détail qui peut permettre de reconnaître facilement certaines espèces posées ou en vol : la famille des bergeronnettes avec leur longue queue ou le milan et l’hirondelle avec leurs queues plus ou moins fourchues par exemple.
La taille relative de la queue par rapport à la largeur de l’aile est un critère très souvent utilisé pour déterminer une espèce en vol mais il faudra un peu plus de pratique (pas évident de se mettre ces proportions dans l’œil). Le dessin est une bonne manière de se mettre en tête plus rapidement l’aspect des oiseaux en vol et cette proportion queue / largeur de l’aile.
Quelques exemples de queues d’oiseaux
Une fois que l’on est arrivé là, vous ne devriez pas être pas loin d’avoir le nom de l’oiseau que vous avez observé ! Le prochain critère devrait vous permettre de départager les derniers candidats qu’il reste.
5. Le plumage
Plus que la couleur, ce sont les contrastes, les taches ou des plumes plus claires localisées à certains endroits qui vous permettront de finir d’identifier votre oiseau.
La couleur en elle-même peut aider mais peut aussi être assez trompeuse : elle varie en fonction du sexe de l’oiseau et parfois en fonction de la saison (certains oiseaux sont assez coquets et ont un plumage d’aspect différents en hiver et en été).
Voici, en images, les zones du plumage qu’il faut observer en priorité :
Tête
Principales parties du plumage de la tête (Grive mauvis). Ingi Finnsson – Pixabay
Vous pouvez vous poser quelques questions : Y a-t-il un « sourcil » marqué ? Y a-t-il une calotte ? La gorge et les parotiques (les « joues ») sont-elles d’une couleur différente et de quelle couleur ?
Corps
Principales parties du plumage du corps (Mésange bleue). Christiane – Pixabay
Quelques questions à se poser : Y a-t-il une « barre alaire » ? La poitrine, le ventre et le manteau sont-ils de la même couleur, entre eux et avec le reste du plumage ou y a-t-il un contraste ? Le ventre et / ou la poitrine sont-ils striés, mouchetés ou uniformes ?
Queue
L’Hirondelle de fenêtre se reconnait bien à son « croupion » blanc. Sharkolot – Pixabay
Quelques plumes à remarquer (Pinson des arbres). SnottyBoggins – Pixabay
Quelques questions à se poser : Le croupion est-il d’une couleur différente (se remarque bien en vol) ? Les bords de la queue sont-ils différents du reste de la queue ?
En fonction des espèces, certaines parties du plumage ne vous aideront pas pour l’identification, essayez donc simplement d’observer et de noter un maximum de ces points pour commencer. Les critères précédents vous permettront de réduire considérablement les possibilités. Avec la pratique, vous saurez alors sur quelle partie du plumage porter votre attention pour départager les oiseaux restants.
Les deux derniers critères vous permettront encore de vous faciliter la tâche en réduisant les possibilités. Ils sont aussi plus faciles à observer alors autant ne pas s’en priver !
6. Comportement
Penchons-nous sur le comportement de notre oiseau 1, 2. Chaque espèce a un mode de vie bien à elle : certaines sont discrètes et préféreront chanter cachées dans les buissons alors que d’autres se mettront bien en vue, perchées en hauteur pour chanter.
Le comportement dépend aussi de l’alimentation de l’oiseau qui est directement liée à son type de bec.
Pour nous aider nous pouvons nous concentrer sur les petits passereaux qui sont les oiseaux les plus souvent observés.
Parmi les oiseaux à bec fin, on peut distinguer les discrets / hyperactifs, et ceux qui sont observés perchés en hauteur bien en vue (chant) ou qui se promènent au sol (chercher de la nourriture et se déplacer).
Les premiers bougent sans cesse et sont difficiles à observer. Ils sont souvent cachés dans les haies ou dans des arbres touffus : c’est le cas des roitelets et des fauvettes par exemple.
Les deuxièmes sont bien plus faciles à observer et sont aussi plus connus : on retrouve le Rougegorge ou l’Accenteur mouchet par exemple.
Les autres types de passereaux les plus courants, qui ont un bec conique pour casser la graine, ou les oiseaux avec un bec fin et fort en même temps, ont des comportements moins typiques. Tout dépend de chaque espèce, voici donc quelques informations intéressantes à noter :
Où l’oiseau a été observé : Au sol ? Perché sur une branche ? Sur un bâtiment ?
Ce qu’il faisait : chant ? recherche de nourriture ? déplacement ?
La date de l’observation et s’il était seul ou en groupe (ce qui peut varier en fonction de la saison).
Enfin voici 2 derniers groupes d’oiseaux assez faciles à observer et à reconnaître par leur comportement.
Les mésanges : assez hyper actives aussi, elles ont un aspect de petites boules, ont un bec très petit et sont très acrobatiques. Avec ces critères, il est possible de reconnaître ces oiseaux assez rapidement même de loin, ce qui est intéressant pour les espèces moins connues de cette famille (Mésange noire, Mésange nonette, Mésange huppée).
Les petits oiseaux grimpeurs : on retrouve ici les Grimpereaux, avec un dos marron, et les Sittelles, avec un dos gris-bleu. Les Grimpereaux sont uniquement capables de grimper / de monter le long du tronc, alors que les Sitelles peuvent descendre la tête la première.
Ce n’est pas une approche qui vous permettra directement de trouver le nom de l’oiseau que vous cherchez mais ce sont des informations très intéressantes qui faciliteront beaucoup l’identification. Si vous prenez en compte le milieu où l’oiseau a été observé en plus vous diminuez énormément les possibilités.
7. Milieu de vie
Les oiseaux ont des préférences pour leurs milieux de vie : il doit leur permettre au minimum de trouver de la nourriture et des lieux et matériaux pour nicher. Certains préfèreront les forêts alors que pour d’autres ce seront les milieux bâtis ou encore les champs et prairies. Vous trouverez quelques exemples ici 3.
Si vous faites une observation, prenez le temps de noter rapidement l’environnement autour de l’oiseau. Vous pouvez par exemple remarquer s’il y a :
- des arbres : peu ou beaucoup ?
- des haies : isolées ou reliées dans un réseau formant un paysage de type bocage ?
- des milieux humides : lacs, étangs, rivières ou roselières
- des bâtiments
- des prairies
- des champs
Si vous connaissez le mode de vie de certains oiseaux, cela pourra vous permettre d’éliminer tout de suite quelques possibilités pour votre détermination. Autrement, c’est une information précieuse qui vous sera très utile pour vos recherches.
Si vous avez un doute entre plusieurs espèces et que vous avez noté le milieu de vie, vous pouvez retrouver ici (recherche par espèce) une description du milieu de vie de chaque espèce ainsi que des cartes de répartition.
Avec toutes ces astuces, l’identification des oiseaux ne devrait plus avoir de secrets pour vous ! Si vous avez bien noté ces informations vous avez toutes les chances d’arriver à mettre un nom sur votre observation. En cherchant le nom d’une espèce sur le net, vous trouverez également facilement d’autres articles présentant entre autre les milieux et modes de vies.
Seulement, on a pas toujours un ornithologue sous la main pour nous aider à faire quelque chose avec toutes ces données. Alors, comment faire ?
Cela mériterait d’être un peu développé, j’ai donc choisi de ne pas en parler ici. Je consacrerai un prochain article sur les meilleures ressources que je connaisse qui peuvent vous aider.
Voici quand même quelques pistes et un aperçu de ce prochain article. Comme outil vous pouvez regarder du côté de :
- Guides de terrain 4
- Applications smartphone
- Programmes d’inventaires participatifs type « Oiseaux des jardins » (ils ont souvent des plaquettes d’identification assez bien faites)
- Mini-guides et plaquettes disponible en cherchant un peu sur le net
- Groupes d’aides à l’identification sur Facebook
Pour reprendre l’exemple du début et illustrer tout ça, voici comment on aurait pu s’y prendre :
Observations :
Un oiseau de petite taille, avec un bec conique, une queue courte et échancrée, une teinte verte et jaune, le ventre strié et une grosse barre alaire jaune. Il était posé dans un arbre (un aulne).
Avec une partie de ces critères observés, si on connaît les oiseaux que l’on peut voir dans ce milieu à cette période on peut arriver à déduire qu’il s’agit très probablement d’un Tarin des aulnes. Autrement, il est possible de s’en sortir avec ces observations en utilisant un guide papier, une application ou allant sur un forum d’aide à l’identification !
Tarin des aulnes (Wikimédia)
Avez-vous déjà essayé de reconnaître un oiseau que vous avez observé ? Qu’est ce qui vous a aidé ou quelles sont les difficultés que vous avez rencontré ?
Je serais très intéressé par avoir votre retour en commentaires ! 🙂
Je vous souhaite de très belles observations et une joyeuse exploration de ce monde qui devient vite passionnant quand on s’y intéresse.
Ressources :
(1) Schollaert V. Méthode formation Ornitho – théorie, Weyrich, 2008
(2) Schollaert V. Méthode formation Ornitho – exercices, Weyrich
(3) Produire des indicateurs à partir des indices des espèces. Vigie-Nature. https://www.vigienature.fr/fr/page/produire-des-indicateurs-partir-des-indices-des-especes-habitat
(4) Svensson L., Mullarney K., Zetterström D. Guide ornitho, Delachaux et Nieslté, 2015
Ressources en plus :
– Reconnaître les chants d’oiseaux : Chaîne Youtube « La minute nature », La Salamandre, Julien Perrot.
https://www.youtube.com/watch?v=Lo0WKT1puoI&list=PLiCstAra4rVtKRwma0f6JQAR-7ysPE_9K
– Choisir des jumelles : article assez complet du site « Ornithomedia »
https://www.ornithomedia.com/pratique/equipement/comment-choisir-ses-jumelles-00335/?cn-reloaded=1
Cet article sur la reconnaissance des oiseaux est vraiment utile. En suivant ces conseils, on identifie mieux les oiseaux et on approfondit ses connaissances. Merci pour cet article.
De rien, content que cet article vous ai aidé 🙂
Waw, il est vraiment top cet article !!! Je n’observe les oiseaux que depuis quelques mois (depuis que j’ai déménagé à la campagne et que j’ai un jardin). Je n’ai pas encore sauté le pas d’essayer d’en dessiner mais cela me donne bien envie !
Merci beaucoup pour ton retour Y-Lan ! Je ne peux que t’encourager à sauter le pas 😉 L’avantage d’un jardin c’est que les oiseaux peuvent être observés relativement de près, surtout en hiver si tu installes une mangeoire (à ne pas faire le reste de l’année par contre 🙂 ). Je suis justement en train de réfléchir à un article sur comment dessiner les oiseaux, je creuse un peu plus le sujet 😉
Merci Florian..
Détails on ne peut plus complet, mais malgré ces descriptions, pas évident car cela demande une forte attention et nos amis sont très mobiles
Merci Gilbert pour ce retour ! Oui, c’est vrai, même quand on sait quoi et où regarder ce n’est pas évident. Il y a un coup à prendre. Faire des sorties avec des structures comme des associations naturalistes ou des Parc naturels régionaux peut beaucoup aider aussi. S’intéresser aux chants peut aussi permettre de faire un grand bon dans l’observation des oiseaux. Bonnes découvertes 🙂